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Tender sugar ♦ James Moriarty.

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MessageSujet: Tender sugar ♦ James Moriarty. Tender sugar ♦ James Moriarty. EmptyLun 20 Jan - 19:26


One drop of love from him
and my heart's in ecstacy.

La vie n'est pas un long fleuve tranquille, c'est le moins que l'on puisse dire, Julian en avait traversé des torrents avant d'aspirer enfin à la tranquillité. Enfin, il n'y aurait pas mis sa main à couper non plus, sa dernière histoire d'amour s'était achevé violemment après deux ans d'histoire... la femme qu'il pensait être l'héroïne de sa vie n'était qu'en fait une traînée qui ne voulait plus de lui et qui le trompait, du moins, c'était ce qu'elle avait dit. Julian l'avait cru et n'avait, de toute façon, pas le cœur à chercher de preuve, il ne voulait même pas savoir avec qui elle l'avait trompé. C'était déjà assez douloureux comme ça, pas la peine d'en rajouter. Enfin bref, aussitôt cette histoire finie, une nouvelle commença. Comme quoi la fin d'une chose peut être le commencement d'une autre. En allant se réfugier chez son meilleur ami, Thomas, afin de chercher un peu de réconfort et de soutien, Julian trouva bien plus que ça. En effet, Thomas lui avoua ses sentiments à son égard... ce qui fit pas mal buger le cerveau du libraire qui ne s'était jamais posé de question sur sa sexualité... Quelques jours plus tard, ils se mirent en couple ensemble. Commençait ici, un nouveau chapitre de sa vie.

Cela faisait donc un an que Thomas et Julian sortaient ensemble, ils avaient récemment emménagé tous les deux dans une rue quelconque, aux yeux de Julian, nommée Baker Street. Il s'agissait un appartement largement suffisant pour vivre à deux. Enfin à trois, non ils n'avaient pas adopté d'enfant, pas déjà, mais il y avait Sirius, le chien de Julian à prendre en compte, un berger yougoslave que le libraire devait sortir deux à quatre fois par jour selon ses disponibilités, enfin, de toute façon ça ne le gênait pas puisqu'il adorait se promener en ville. Bizarrement, Sirius, qui était un chien adorable avec les enfants et la plupart des gens, n'aimait pas Thomas, il lui grognait souvent dessus malgré les réprimandes (non violentes, attention) de Julian. Pourtant, Thomas était un homme bien, enfin, notre anglais en était persuadé. Mais passons, malgré ce petit détail, leur quotidien était plutôt agréable, c'était le quotidien banal de deux personnes qui s'aiment... donc pas la peine d'entrer plus "profondément" dans les détails, les choses intimes doivent le rester. D'ailleurs, c'était avec Thomas que Julian avait découvert les relations entre deux hommes, on pouvait donc dire qu'il avait perdu sa "virginité homosexuelle" avec lui... Heureusement, on ne parlait pas de virginité tout court, à 35 ans, notre libraire avait quand même eu bien des histoires avant Thomas, mais il n'avait jamais fait dans le gay.

Au début, il trouvait ça plutôt bizarre et était souvent gêné... après tout, sortir avec une fille n'a généralement rien à voir avec le fait de sortir avec un homme. Par exemple, Alyson, son ex adorait que Julian lui apporte le petit déj' au lit et visiblement, ce n'était pas trop le truc de Thomas. Il fallait donc s'adapter. En revanche, concernant le regard des autres, ça n'avait jamais été un souci pour Julian, déjà parce qu'il n'avait plus de proche à qui le cacher : seule sa mère était encore en vie et il avait coupé les ponts avec celle-ci et son alcoolémie depuis longtemps. Ensuite, lui il n'avait jamais été choqué de voir des couples gay ou lesbiens dans la rue ou au restaurant, dans sa tête, c'était normal. Et puis de toute façon, Thomas était tellement l'homme idéal, selon le libraire, qu'il n'avait pas à cacher son amour pour lui. Soit dit en passant, il se trouvait chanceux, il sortait avec un mec physiquement canon et charmant, possédant les plus beaux yeux du monde et en plus de ça, c'était un ange, il dépassait n'importe quel personnage de roman au niveau de la perfection... évidemment, c'était le point de vue d'un homme amoureux.

Enfin, tout ça pour dire qu'ils étaient ensemble, dans ce café-boulangerie français, c'était un endroit assez symbolique pour eux, enfin, pour Julian en tout cas, car c'était ici qu'il avait eu leur premier rendez-vous. Pas un rencard amoureux, un simple rendez-vous pour faire connaissance. Le temps avait passé et de l'eau avait coulé sous les ponts depuis. Désormais, c'était en tant que couple qu'ils étaient assis l'un en face de l'autre dans ce charmant endroit. Julian aurait pu emmener Sirius, mais si c'était pour l'entendre grogner dès que Thomas s'approchait trop près de son maître, ce n'était pas la peine. Bref, aux côtés de l'aide soignant, Julian avait l'impression de vivre sa plus belle histoire d'amour... enfin, c'est toujours ce qu'on se dit lorsqu'on est en couple n'est-ce pas ? Il n'y a qu'une fois que c'est fini qu'on réalise que tout ça, c'était du vent.


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James Moriarty

THE SINNER MAN ♦ CRIMINEL
James Moriarty
— PSEUDOs : — Mister Burglar. • Gin
— CRIMES RÉSOLUS : 112
— DISPONIBILITÉ RPs :
  • ✓ Disponible
— AVATAR : Le beau et talentueux Andrew Scott.
— CRÉDITS : tumblr & bazzart & moi.
— DC&TC : David-P. Atkins l'avaleur de donuts, Andrew Jahensey le drogué & Clive le strip-danseur.
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— ÂGE DU PERSO : Moriarty possède ni plus, ni moins que trente et un ans. Il le vit plutôt bien, enfin, il n'en a rien à faire à vrai dire.
— NATIONALITÉ : L'on pense qu'il est Londonien, mais pourtant, ce n'est pas du tout le cas. Oui, il a les passeports, mais non il n'est pas Anglais ; mais Irlandais.
— ORIGINAIRE DE : James est originaire de Dublin, la capitale de l'Irlande. Ca s'entend à son accent irish.
— LIEU D'HABITATION : Seul ses plus proches bras droits le savent, et encore... Donc je ne pense pas pouvoir vous le communiquer.
— MÉTIER : Criminel Consultant. Terme qu'il s'est bien-sûr inventé, tout comme Sherlock Holmes se fait appeller Détective Consultant. En gros, on le paye pour commetre des crimes.
— ARMES DU PERSO : Sebastian est son arme la plus sûre et la plus fidèle, qui en général ne rate jamais son coup comme il est tireur d'élite. Sinon, il garde toujours un revolver sur lui.
— AMOUREUSEMENT : Moriarty, aimer ? La bonne blague... Il n'a d'yeux que pour Sherlock, certes. Mais du point de vue connaissance personelle, je pourrais dire que Sebastian Moran est la personne qui lui est la plus... chère ?
— O. SEXUELLE : Il n'a que faire de ça. Tant que les gens lui servent, homme, ou femme, de là même à devoir aller jusqu'au lit... Ca n'a pas d'importance.

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MessageSujet: Re: Tender sugar ♦ James Moriarty. Tender sugar ♦ James Moriarty. EmptyJeu 20 Fév - 16:14

Julian & Jimmy.
when the mask fall ♦ you see the real face


Moriarty était assis à cette table de café français, et fixait son tête-à-tête avec un sourire enjôleur et qu’on aurait pu qualifier « d’amoureux ». Ses deux mains étaient à plat sur la table, et c’est alors qu’il bougea l’une d’elle pour aller la poser sur celle du beau jeune homme en face de lui, tapotant doucement ses doigts contre les siens avant de jouer avec, s’amusant avec légèreté et en silence, d’un regard malicieux. Oh-là, ne commencez pas à me crier dessus tout en vous levant de vos chaises de bureau pour faire un beau flip pc, non, rasseyez-vous bien sagement et laissez-moi vous expliquer tout ça. Vous ne rêvez pas, c’est bel et bien James Moriarty que je décrivais à ce moment même. Alors, pourquoi toute ces gentillesses dégoulinantes et écœurantes, me direz-vous ? Hé bien, c’était fort simple. Vous savez, Moriarty avait été amusé de la manière dont John Watson suivait partout Sherlock, à le défendre quand quelque chose allait contre lui, tel un chien-chien bien dressé, prêt à défendre son maitre si on osait l’attaquer ou bien l’insulter. Le maitre des crimes britannique avait donc réfléchit un moment avant de prendre une décision : lui aussi allait faire comme son amour de Sherlock chéri et donc se trouver un John Personnel.

Il avait donc trouvé une pauvre âme sur son chemin : Julian Lester Greyson. Un jeune libraire, qui à l‘époque de leur « rencontre tout à fait fortuite » avait une petite amie et une vie paisible. Le pauvre jeune homme ne se doutait pas ce jour là sur qui il était tombé… Et en même temps, c’est normal qu’il ne fut pas au courant : Jimmy s’était inventé entièrement une fausse identité. Thomas, un aide soignant dans une maison de retraite, bénévole à son temps perdu, quelqu’un de franc, gentils, doux, attentionné, câlin, … Le mec idéal. Et je peux vous dire que même si James était le total contraire de ce Thomas, il s’amusait à le jouer, tout simplement car Julian le faisait rire, à agir comme tout ces humains normaux et pourvut de sentiments… Et puis aussi, ça le détendait un peu de jouer cette double vie, et ça l’occupait surtout. Car bon, faire des plans contre Sherlock, c’était bien beau tout ça, mais à force, attendre, c’était franchement ennuyant.

Mais en ce moment, je ne vous cache pas qu’il commençait à se lasser. Julian ne le surprenait plus du tout, ce n’était pas bon signe, tout ça… Pour tout vous dire, Moriarty comptait mettre tout sur table très bientôt. Ce serait la dernière chose agréable de cette petite expérience comique de son avis, car la réaction qu’aurait le jeune homme risquait d’être fort risible. C’était donc la chose finale qu’il attendait et avec impatience, de cette aventure. Enfin bon, ne pensons pas aux choses futures mais plutôt celles actuelles ! James releva son autre main libre, posant sa joue contre la paume de cette dernière, le coude sur la table et regardant toujours Julian de cet air amoureux transit. Les gens autour devaient bien deviner qu’ils étaient ensembles, en tout cas ça se lisait sur leurs visages et leurs gestes, tout aussi bien chez Julian que « Thomas »… Moriarty était un très bon comédien.

Tu prendras la même chose que d'habitude, je suppose ?

Il avait lâché cette phrase à la manière d’un gaga-amoureux « transit » comme dit plus haut. Papillonnant des yeux, il ne cessait de fixer Julian tout en se disant que si Sebastian le voyait ainsi, il aurait surement éclaté de rire.
Codes par Wild Hunger.
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Tender sugar ♦ James Moriarty.

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